Skateboard

Le skateboard est devenu discipline olympique cet été aux Jeux Olympiques de Tokyo, ce qui lui a donné une visibilité plus grande encore et risque fort de susciter de nouveaux intérêts.  Deux de nos compatriotes s'étaient qualifiés pour cette grande première et y ont défendu les couleurs de la Belgique.

• Le street

L’origine du développement de la discipline skateboard, le street signifie « la rue », lieu où le skateur utilise sa planche comme moyen de déplacement.

Le street se pratique, comme son nom l’indique, dans la rue, les skateurs détournent le mobilier urbain de son utilité première pour en faire son terrain de jeu et d’expression créative. Les places publiques ou infrastructures propices à la pratique du skateboard sont appelées « spots » par les riders, c’est là qu’ils réalisent leurs figures, aussi appelées « tricks ».

Aujourd’hui, les « skateparks » proposent des combinaisons de modules qui recréent le mobilier urbain et permettent une pratique en toute sécurité.

• La rampe

Discipline très spectaculaire, la rampe est une infrastructure en forme de « U » sur laquelle les pratiquants effectuent des allers-retours en réalisant des figures.
Plus la rampe et large et haute, plus les skateurs peuvent effectuer des envolées allant parfois jusqu’à 5 à 6 mètres de haut.

• Le « Bowl » ou « Pool »

Précurseurs de l’évolution du skateboard, les riders de « bowl » ou « pool » pratiquaient à l’époque dans des piscines vides, à fond rond. Aujourd’hui, de nombreuses infrastructures aux formes originales permettent aux adeptes de s’exprimer au mieux et de faire évoluer la pratique.

L’utilisation des protections est conseillée pour les différentes disciplines et notamment chez les jeunes (ou moins jeunes) qui débutent. En club, le port du casque est obligatoire. Pour pratiquer la rampe, les genouillères, coudières et casque sont obligatoires et indispensables pour glisser en cas de chute à grande vitesse.

Source: Fédération Française de roller et skateboard

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